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Pour identifier un état mental cela demande, vous
l’aurez compris, de l’entrainement. Il est necessaire marqueur positif. Cela demande du temps et de
de connaitre son référentiel émotionnel,
d’identifier les indicateurs visuel, kinestésique
et auditif négatif très rapidement et les associer
Des pistes de réflexions
1) La technique du switch peut s’appliquer dans
d’autres conditions. Par exemple, pour réduire la
fatigue ou la douleur, le sportif peut basculer vers
des images/sensations de froid en s’empreignant
d’images/sensations comme se rouler dans la neige,
les glaçons ou un vent froid sur le front. Toutes les être vérifié et modifié. Il peut y avoir une usure de
images sont possibles, elles doivent surtout être
pertinentes pour le sportif. Il nous est possible
de tromper notre cerveau et donc la douleur ou la
fatigue en créant une interférence. Cela permet de
se concentrer sur autres choses et notre cerveau est
capable de changer de perspective. Cela peut-être
extrêmement utile en fin de course par exemple pour
à un changement de comportement vers un
l’entrainement mais ouvre une porte considérable
vers la maitrise de ses compétitions.
se focaliser sur l’action sans être déranger par les
interférences liés aux sensations de douleurs ou de
fatigues.
2) Plus l’entraînement est important, et plus le
temps de basculer/switcher est court.
3) Le Switch nécessite une véritable répétition et
une adaptation régulière. L’ancrage doit régulièrement
l’ancrage qui peut expliquer une réduction de son
impact et de son efficacité. L’entraînement à cette
technique permet de diminuer le temps nécessaire
pour modifier l’état recherché.
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