Page 100 - TRIMAX MAGAZINE 184
P. 100
TEST MATOS
A L’ESSAI
La première impression après
enfilage de la Cloudswift est celle d’un
étrange paradoxe : la Cloudswift est
légère au pied alors qu’elle annonce
pourtant 290gr sur la balance dans
une taille 42.5.
Ce léger embonpoint est compensé L’amorti est relativement « ferme » ce Dans tous les cas, nos modèles
par les qualités dynamiques de la qui en fait une chaussure dynamique. de test ne présentent aucun signe
chaussure : dynamisme et rebond. La Mon ressenti personnel étant que la d’usure prématurée.
Cloudswift se fait alors complètement Cloudswift invite moins à la flânerie
oublier après 5 minutes de footing. que ne peut le faire une Cloudsurfer. Dernier point, le drop est de 7mm sur
Cette impression est accentuée par Avec la Cloudswift le rythme se veut ce modèle. Bien qu’il n’existe aucune
le confort apporté par le mesh. Celui- un peu plus élevé et elle invite à vérité à ce sujet et qu’il faille considérer
ci est d’une rare élégance et souligne accélérer l’allure. la conception de la chaussure dans
une nouvelle fois le coté premium de sa globalité, celui-ci se trouve dans
la marque Suisse. Nous manquons encore de recul vis- une moyenne entre racing flat
à-vis de la longévité de la Cloudswift, et pur modèle d’entrainement. A
Le chaussant est plutôt large en toutefois un effort semble avoir été l’usage, mon impression a été que la
rapport aux habitudes de On qui fait sur la semelle extérieure. Le Cloudswift incite à une attaque entre
nous avait habitué à chouchouter nouveau design des Clouds et leur talon et medio-pied.
les pieds plutôt fins. Les runners renfort semblent réduire son usure.
aux pieds fins auront alors cette
première impression d’être un peu
au large dans la cloudswift. Cela-dit,
le maintien est bien assuré et permet
même de se passer d’un laçage serré
sur ce modèle. Ce choix est délibéré
de la part de On afin de privilégier le
travail du pied dans la chaussure et
ainsi d’améliorer la proprioception
lors de la course.
Le terrain de jeu de la Cloudswift
est à coup sûr le bitume. La semelle
extérieure est assez ferme et son
accroche bien que suffisante ne vous
permettra pas d’excentricité. Il vous
faudra éviter les graviers si vous ne
voulez pas dégrader votre Cloudswift
avant l’heure. Celle-ci peut se
permettre quelques escapades mais
se trouve à son aise avant tout sur la
route !
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A L’ESSAI
La première impression après
enfilage de la Cloudswift est celle d’un
étrange paradoxe : la Cloudswift est
légère au pied alors qu’elle annonce
pourtant 290gr sur la balance dans
une taille 42.5.
Ce léger embonpoint est compensé L’amorti est relativement « ferme » ce Dans tous les cas, nos modèles
par les qualités dynamiques de la qui en fait une chaussure dynamique. de test ne présentent aucun signe
chaussure : dynamisme et rebond. La Mon ressenti personnel étant que la d’usure prématurée.
Cloudswift se fait alors complètement Cloudswift invite moins à la flânerie
oublier après 5 minutes de footing. que ne peut le faire une Cloudsurfer. Dernier point, le drop est de 7mm sur
Cette impression est accentuée par Avec la Cloudswift le rythme se veut ce modèle. Bien qu’il n’existe aucune
le confort apporté par le mesh. Celui- un peu plus élevé et elle invite à vérité à ce sujet et qu’il faille considérer
ci est d’une rare élégance et souligne accélérer l’allure. la conception de la chaussure dans
une nouvelle fois le coté premium de sa globalité, celui-ci se trouve dans
la marque Suisse. Nous manquons encore de recul vis- une moyenne entre racing flat
à-vis de la longévité de la Cloudswift, et pur modèle d’entrainement. A
Le chaussant est plutôt large en toutefois un effort semble avoir été l’usage, mon impression a été que la
rapport aux habitudes de On qui fait sur la semelle extérieure. Le Cloudswift incite à une attaque entre
nous avait habitué à chouchouter nouveau design des Clouds et leur talon et medio-pied.
les pieds plutôt fins. Les runners renfort semblent réduire son usure.
aux pieds fins auront alors cette
première impression d’être un peu
au large dans la cloudswift. Cela-dit,
le maintien est bien assuré et permet
même de se passer d’un laçage serré
sur ce modèle. Ce choix est délibéré
de la part de On afin de privilégier le
travail du pied dans la chaussure et
ainsi d’améliorer la proprioception
lors de la course.
Le terrain de jeu de la Cloudswift
est à coup sûr le bitume. La semelle
extérieure est assez ferme et son
accroche bien que suffisante ne vous
permettra pas d’excentricité. Il vous
faudra éviter les graviers si vous ne
voulez pas dégrader votre Cloudswift
avant l’heure. Celle-ci peut se
permettre quelques escapades mais
se trouve à son aise avant tout sur la
route !
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