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le préparateur mental, après avoir identifié des Alors prenez le temps la veille de votre prochaine
situations précises pouvant générer un stress
particulier pendant ou avant le match, va mettre
l’athlète en situation, en imagerie. L’imagerie
mentale est précédée par un exercice de
respiration/relaxation avant d’entrer en imagerie.
Prenons un exemple concret d’une jeune athlète.
Sophie est une jeune gymnaste visant les
championnats d’Europe.
En perte de résultat, l’entraineur lui demande de
redoubler d’effort à l’entrainement sans résultat.
Elle ressent un stress avant ses passages, un
moment où elle pense aux résultats finaux. Elle
repense à ses précédents échecs au lieu d’être dans
le plaisir. Elle a de mauvaises sensations.
L’imagerie mentale en plus d’un travail global a
permis d’automatiser des comportements adaptés
en se concentrant sur des situations de réussite,
et sur ses sensations. Sa concentration accrue, et
la visualisation de situations réussies augmentent
sa confiance en elle. En plus, des sensations de
bien-être ont été retrouvées lors de moments
importants. La répétition a permis d’automatiser
une situation, à des marqueurs et à une émotion
agréable tout en étant sur le bon champ d’attention.
La fluidité retrouvée, elle a par la suite réussi ses mentale dans ses entrainements. Mais nous
dernières compétitions finissant l’année avec de
meilleurs résultats.
L’imagerie n’est donc qu’un outil dans la préparation
mentale des triathlètes, mais il permet d’obtenir
de réels résultats.
Bien évidement cet outil peut être utilisé par tout
le monde, dans la vie de tous les jours, au travail
etc …
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compétition où de votre prochain rendez-vous
de visualiser la situation la plus parfaite que vous
aimeriez vivre, et prenez le temps d’identifier les
sensations que cela vous procure.
Le risque : Le surentrainement et la
fatigue mentale.
Puisque notre cerveau ne fait pas de différence entre
ce que l’on réalise physiquement et mentalement
un des risques majeurs de l’imagerie mentale est
la fatigue. En effet réaliser au mauvais moment et
de façon trop régulière cela peut engendrer de la
sur-fatigue considérable. Je conseille de s’adresser
à un professionnel de la préparation mentale afin
d’en savoir plus sur l’utilisation de cette technique.
L’imagerie mentale est une technique de base
que tous bon triathlètes surtout amateur se
doivent de connaitre ! Elle est un préalable à
de nombreux autres entrainements et permet
d’avoir des résultats fabuleux sur la performance.
L’entrainement mental passe par de l’imagerie.
Par exemple le « switch » très souvent utilisé dans
le triathlon ne peut être maitrisé convenablement
sans une bonne pratique intégré de l’imagerie
reviendrons plus en détails sut cette autre
technique dans un prochain numéro !
D’ici la, imaginez du bonheur, du
plaisir, des victoires :
C’est comme les vivres !