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LA CHRONIQUE DE NICOLAS GEAY

faire comme si… De faire comme si la l’instar du VTT notamment, tout se projeter. De pouvoir se fixer un
saison allait reprendre normalement, repose sur cette course, en atteste objectif de course qui nous permet
comme si leur vie allait être à le nom de cette discipline “triathlon de sortir de la couette et se “coltiner”
nouveau rythmée par cette routine et format olympique”. C’est le sommet des heures d’entrainement dans
ces enchainements “entrainement/ de la pyramide. La base en dépend et le froid. Et aussi de rêver des Jeux,
compétition/récup/entrainement”… vice-versa. Et une économie aussi. d’Hawaii, d’Embrun que sais-je… La
Bref, une vie normale de sportif de Covid-19 et toutes les annulations
haut-niveau. Et où l’on espère que Mais je vais vous dire, le plus qui s’ensuivent sont une formidable
les Jeux auront bien lieu. Parce qu’à important là-dedans, c’est de pouvoir machine à broyer nos rêves et ce
cadre si précieux, qui nous offre
un équilibre de vie. La nôtre ou par
procuration à suivre ces champions,
ces repères, ces guides. Dans leurs
défaites, leurs joies, leurs titres et
leur retour au premier plan, preuve
d’une grande résilience. Bref, 2020
est à peine terminée que j’ai envie
de lui dire au revoir… et bonjour à
2021 comme une ode à l’optimisme
et l’espoir de jours meilleurs, pour
surtout reprendre une vie normale
et se refaire plaisir. Dans les bassins,
sur nos vélos, avec nos running ou
devant la télé. Juste pour rêver un
peu et revivre des émotions. Le sport,
le tri. La vie. Celle qu’on a choisie.

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