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Burj-al-Arab. Spot idéal pour se faire un petit selfie - est taillé pour les gros rouleurs qui savent mettre les
souvenir juste avant la bagarre ! Cette année encore, les watts. Car en l’absence de vent, le 70.3 de Dubaï est une
eaux calmes du Golf Persique auront permis une natation des courses les plus rapides du monde !
rapide sur la boucle de 1,9 km. Et côté professionnels, le
groupe de tête, notamment composé du Belge Pieter
Heemeryck (2è au final) et du Britannique Adam Bowden Duel de princes belges
(3è au final), s’est extirpé en moins de 23 minutes.
Le mano a mano belge entre Heemryck et Aernouts
Sorti à plus de 3 minutes, le Belge Bart Aernouts, vainqueur a alors commencé à T2. Les deux hommes posant
du jour, a alors commencé sa remontée fantastique. Le leurs machines ensemble dans le parc à vélo. Un parc
parcours routier super plat lui a effectivement permis de de taille XXL sur pelouse synthétique, à la hauteur de
faire parler ses qualités de cycliste. Il a ainsi avalé les 90 l’environnement émirati. Avec l’impression d’assister à
km en 1:52:34 ! À cette vitesse, pas sûr qu’il ait eu le temps une super production hollywoodienne ou un décor réalisé
d’admirer les premières dunes du désert arabique, dont en 3D, tant tout est parfaitement aligné et bien rôdé.
le parcours vélo amène aux confins. Les plus sceptiques
diront qu’il n’y avait pas la distance officielle, a contrario
des 90 km annoncés par Ironman. Quoi qu’il en soit, le PAR CÉDRIC LE SEC’H
profil - qui consiste en un aller-retour presque tout droit PHOTOS JACVAN / J.MITCHELL @ACTIV’IMAGES

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