Page 22 - TRIMAX MAGAZINE 185
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LA CHRONIQUE DE NICOLAS GEAY
Je suis paralysé mais j’ai à manger, en fait partie. Ceux qui connaissent de vaincre et d’avancer qui doivent
j’ai des amis, j’ai une voiture, mais le paratriathlète l’ont-ils vu se nous faire réfléchir. Se plaint-il quand,
il y a des valides qui n’ont pas à plaindre un jour ? Abandonner ou lui le nouveau phénomène de son
manger, qui vont peut-être mourir s’apitoyer sur son sort ? Non. Lui qui sport, ne reçoit le soutien d’aucun
dans une semaine ou deux, donc je a été victime d’un accident sur un équipementier de vélo ou lorsque la
suis un homme heureux, je suis un chantier et qui a perdu sa jambe a peau de son moignon est brulée à
gars chanceux ! » J’ai fini l’interview su lui aussi se relever pour devenir cause des frottements sur sa prothèse
en larmes. Tellement bouleversant double champion du monde de ? Jamais. Parce qu’il sait d’où il revient
et tellement fort que de repenser à paratriathlon. Le combat d’Alexis et que c’est une perte d’énergie. Qu’il
cette phrase me donne encore des aussi a valeur d’exemple, mais faut juste se battre et profiter des bons
frissons. Serions-nous capables, surtout son état d’esprit. Ce mec moments et relativiser les emmerdes
nous communs des mortels, qui a toujours le sourire et une soif du quotidien… Même si bien sur,
souvent nous plaignons pour les
petits tracas de la vie de tous les jours,
de nous relever ainsi, d’avoir une telle
force de caractère, une telle volonté
et de positiver malgré de telles
souffrances comme Adrien Costa ou
Marc Herremans ? Dur à dire mais ce
qui est sur, c’est que ces champions
ont un truc en plus, cette fameuse
résilience et cette conviction qu’ils
doivent avancer, malgré ce qui leur
est arrivé ! Ne pas se plaindre parce
qu’ils n’ont pas le choix. Et le monde
du triathlon recèle d’exemples (au
premier sens du terme : Personne
dont les actes sont dignes d’être
imités) comme celui d’Adrien ou de
Marc. Celui d’Alexis Hanquinquant
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Je suis paralysé mais j’ai à manger, en fait partie. Ceux qui connaissent de vaincre et d’avancer qui doivent
j’ai des amis, j’ai une voiture, mais le paratriathlète l’ont-ils vu se nous faire réfléchir. Se plaint-il quand,
il y a des valides qui n’ont pas à plaindre un jour ? Abandonner ou lui le nouveau phénomène de son
manger, qui vont peut-être mourir s’apitoyer sur son sort ? Non. Lui qui sport, ne reçoit le soutien d’aucun
dans une semaine ou deux, donc je a été victime d’un accident sur un équipementier de vélo ou lorsque la
suis un homme heureux, je suis un chantier et qui a perdu sa jambe a peau de son moignon est brulée à
gars chanceux ! » J’ai fini l’interview su lui aussi se relever pour devenir cause des frottements sur sa prothèse
en larmes. Tellement bouleversant double champion du monde de ? Jamais. Parce qu’il sait d’où il revient
et tellement fort que de repenser à paratriathlon. Le combat d’Alexis et que c’est une perte d’énergie. Qu’il
cette phrase me donne encore des aussi a valeur d’exemple, mais faut juste se battre et profiter des bons
frissons. Serions-nous capables, surtout son état d’esprit. Ce mec moments et relativiser les emmerdes
nous communs des mortels, qui a toujours le sourire et une soif du quotidien… Même si bien sur,
souvent nous plaignons pour les
petits tracas de la vie de tous les jours,
de nous relever ainsi, d’avoir une telle
force de caractère, une telle volonté
et de positiver malgré de telles
souffrances comme Adrien Costa ou
Marc Herremans ? Dur à dire mais ce
qui est sur, c’est que ces champions
ont un truc en plus, cette fameuse
résilience et cette conviction qu’ils
doivent avancer, malgré ce qui leur
est arrivé ! Ne pas se plaindre parce
qu’ils n’ont pas le choix. Et le monde
du triathlon recèle d’exemples (au
premier sens du terme : Personne
dont les actes sont dignes d’être
imités) comme celui d’Adrien ou de
Marc. Celui d’Alexis Hanquinquant
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