Page 55 - TRIMAX MAGAZINE 184
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EKOÏ :
« NOTRE PRIORITÉ,
SATISFAIRE NOS CLIENTS
AVEC DES PRODUITS DE
QUALITÉ »
SUCCESS STORY
PAR JACVAN
PHOTOS F.BOUKLA @ACTIV’IMAGES
D’abord connue dans le monde du vélo, la marque française a petit à petit investi le
marché du triathlon… avec succès. La marque a su proposer à la fois des produits
grand public mais également une gamme plus technique qui a su séduire les
triathlètes les plus exigeants. Rencontre avec Jean-Christophe RATTEL, fondateur de
la marque et actuel CEO.
Ekoï est devenue, au fil des années, une marque incontournable dans le monde de
l’équipement en triathlon. Pouvez-vous nous relater comment l’aventure Ekoï est
née ?
J’ai créé EKOÏ en 2001 après avoir travaillé 10 ans pour la marque VETTA (casques,
selles compteurs) en tant que manager du marché français et 10 ans avant chez
MBK (ex motobecane) en tant que commercial. Donc en conclusion ça fait plus de
30 ans que je suis dans l’univers du vélo et je commence à vieillir sérieusement …
Le nom d’Ekoï a pu surprendre, d’où vient ce nom ?
Aucune signification, je cherchais un nom court pour être apposé sur des produits
de petite taille comme sur des lunettes par exemple… pas un nom franco-français,
pas non plus un nom avec une connotation US ou Italienne. Les trémas venaient
apporter une différence.
Vous êtes donc plutôt cycliste et non triathlète, comment avez-vous découvert cette
discipline ?
En effet, c’est la rencontre avec mon ami Jacky Everaerdt qui a provoqué notre
implication dans le triathlon. Les premiers athlètes à faire confiance à Jacky pour
Ekoï ont été Xavier Lefloch et Olivier Marceau puis les autres sont arrivés très vite
déjà séduits par notre volonté de créer des produits techniques pour les satisfaire
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« NOTRE PRIORITÉ,
SATISFAIRE NOS CLIENTS
AVEC DES PRODUITS DE
QUALITÉ »
SUCCESS STORY
PAR JACVAN
PHOTOS F.BOUKLA @ACTIV’IMAGES
D’abord connue dans le monde du vélo, la marque française a petit à petit investi le
marché du triathlon… avec succès. La marque a su proposer à la fois des produits
grand public mais également une gamme plus technique qui a su séduire les
triathlètes les plus exigeants. Rencontre avec Jean-Christophe RATTEL, fondateur de
la marque et actuel CEO.
Ekoï est devenue, au fil des années, une marque incontournable dans le monde de
l’équipement en triathlon. Pouvez-vous nous relater comment l’aventure Ekoï est
née ?
J’ai créé EKOÏ en 2001 après avoir travaillé 10 ans pour la marque VETTA (casques,
selles compteurs) en tant que manager du marché français et 10 ans avant chez
MBK (ex motobecane) en tant que commercial. Donc en conclusion ça fait plus de
30 ans que je suis dans l’univers du vélo et je commence à vieillir sérieusement …
Le nom d’Ekoï a pu surprendre, d’où vient ce nom ?
Aucune signification, je cherchais un nom court pour être apposé sur des produits
de petite taille comme sur des lunettes par exemple… pas un nom franco-français,
pas non plus un nom avec une connotation US ou Italienne. Les trémas venaient
apporter une différence.
Vous êtes donc plutôt cycliste et non triathlète, comment avez-vous découvert cette
discipline ?
En effet, c’est la rencontre avec mon ami Jacky Everaerdt qui a provoqué notre
implication dans le triathlon. Les premiers athlètes à faire confiance à Jacky pour
Ekoï ont été Xavier Lefloch et Olivier Marceau puis les autres sont arrivés très vite
déjà séduits par notre volonté de créer des produits techniques pour les satisfaire
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