Page 47 - TRIMAX MAGAZINE 184
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n est un pays magnifique avec
des monuments exceptionnels. Il y
a de plus en plus de touristes et les
hôtels sont de très bonne qualité à
un tarif très correct.
La course est vraiment sympa et
bien organisée même si les Omanais
ne connaissent pour l’instant pas
beaucoup le triathlon donc ça n’attire
pas grand monde.
Pour ma part, je voulais absolument
faire un 70.3 à la fin de 4 mois
d’entrainements hivernaux pour voir
l’état de forme en prenant part à
une épreuve avec un parcours vélo
vallonné. J’avais aussi l’ambition de
connaitre une victoire au général
sur une épreuve IRONMAN avant
de passer professionnel et ainsi me
mettre en confiance pour la suite
de la saison. C’est chose faite, j’ai pu
montrer les belles couleurs de mon
club en dominant la course du début
à la fin et en bouclant la course en
3h56.
LE MOT DE SON PRESIDENT
J’ai rencontré Antoine pour la première fois à Kona en 2017 où après avoir obtenu sa qualification à Nice, il est
devenu champion du monde 25-29 ans pour son 2ème IRONMAN. La rencontre s’est faite à la piscine de Kona, un
matin, où étaient présents (signe prémonitoire s’il en est) Fred van Lierde, Jeanne et Yves. Antoine est venu vers
nous, désemparé, car son vélo est arrivé de l’avion cadre brisé. Il cherchait donc un vélo pour la course. Coup de
chance, Mathieu le compagnon de Jeanne avait emmené le sien et lui a donc proposé. La suite on la connait.
J’ai tout de suite apprécié chez Antoine et sa compagne leur bon état d’esprit et leur gentillesse. Ce qui m’a donné
envie par la suite de le suivre sur les réseaux sociaux car c’est un très bon communiquant et que les commentaires
le concernant étaient plus que positifs. Il me plaisait mais compte tenu de ses bons rapports avec son club de
Saintes à l’époque, je m’interdisais toute approche. C’est lui qui est venu nous voir cet hiver en nous disant qu’il avait
très envie de signer au LSVT. Nous avons rapidement trouvé un terrain d’entente et la chose s’est faite. Sa mission
au sein du LSVT est de renforcer tout d’abord notre D2 de Duathlon (Antoine est un ténor du duathlon) où il a pas
mal de copains pour envisager une montée en D1 et de renforcer le pôle Long Distance avec un jeune prometteur
dans le domaine.
Ce qui est extraordinaire dans cette histoire c’est que les trois athlètes présents autour de la piscine à Kona sont
aujourd’hui au LSVT. Mais je confirme que nous sommes, au LSVT, avant tout, attachés à l’état d’esprit des athlètes
avant toute considération sportive. Les mécènes recherchent des vecteurs de communication avec une mentalité
irréprochable et c’est donc ce qui nous guide avec beaucoup de réussite jusqu’ici avec Jeanne, Fred et Antoine.
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des monuments exceptionnels. Il y
a de plus en plus de touristes et les
hôtels sont de très bonne qualité à
un tarif très correct.
La course est vraiment sympa et
bien organisée même si les Omanais
ne connaissent pour l’instant pas
beaucoup le triathlon donc ça n’attire
pas grand monde.
Pour ma part, je voulais absolument
faire un 70.3 à la fin de 4 mois
d’entrainements hivernaux pour voir
l’état de forme en prenant part à
une épreuve avec un parcours vélo
vallonné. J’avais aussi l’ambition de
connaitre une victoire au général
sur une épreuve IRONMAN avant
de passer professionnel et ainsi me
mettre en confiance pour la suite
de la saison. C’est chose faite, j’ai pu
montrer les belles couleurs de mon
club en dominant la course du début
à la fin et en bouclant la course en
3h56.
LE MOT DE SON PRESIDENT
J’ai rencontré Antoine pour la première fois à Kona en 2017 où après avoir obtenu sa qualification à Nice, il est
devenu champion du monde 25-29 ans pour son 2ème IRONMAN. La rencontre s’est faite à la piscine de Kona, un
matin, où étaient présents (signe prémonitoire s’il en est) Fred van Lierde, Jeanne et Yves. Antoine est venu vers
nous, désemparé, car son vélo est arrivé de l’avion cadre brisé. Il cherchait donc un vélo pour la course. Coup de
chance, Mathieu le compagnon de Jeanne avait emmené le sien et lui a donc proposé. La suite on la connait.
J’ai tout de suite apprécié chez Antoine et sa compagne leur bon état d’esprit et leur gentillesse. Ce qui m’a donné
envie par la suite de le suivre sur les réseaux sociaux car c’est un très bon communiquant et que les commentaires
le concernant étaient plus que positifs. Il me plaisait mais compte tenu de ses bons rapports avec son club de
Saintes à l’époque, je m’interdisais toute approche. C’est lui qui est venu nous voir cet hiver en nous disant qu’il avait
très envie de signer au LSVT. Nous avons rapidement trouvé un terrain d’entente et la chose s’est faite. Sa mission
au sein du LSVT est de renforcer tout d’abord notre D2 de Duathlon (Antoine est un ténor du duathlon) où il a pas
mal de copains pour envisager une montée en D1 et de renforcer le pôle Long Distance avec un jeune prometteur
dans le domaine.
Ce qui est extraordinaire dans cette histoire c’est que les trois athlètes présents autour de la piscine à Kona sont
aujourd’hui au LSVT. Mais je confirme que nous sommes, au LSVT, avant tout, attachés à l’état d’esprit des athlètes
avant toute considération sportive. Les mécènes recherchent des vecteurs de communication avec une mentalité
irréprochable et c’est donc ce qui nous guide avec beaucoup de réussite jusqu’ici avec Jeanne, Fred et Antoine.
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