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RENCONTRE

TrimaX-magazine : Vas-tu être présent
pour les manches de Grand Prix D1 pour ton TrimaX-magazine : L’après triathlon, y as-
club le Triathlon Toulouse Métropole ? tu déjà réfléchi ?

La variété des formats et distances est quelque Oui, ma conception est la suivante : même si les
chose que j’adore en triathlon et si je peux donner performances « master » ne cessent de progresser,
un coup de main sur le Grand Prix de D1, c’est en particulier en triathlon, je sais qu’il sera
avec grand plaisir ! La densité de ces épreuves compliqué de pratiquer le triathlon au plus haut
en fait un support de choix pour progresser car niveau au-delà de 40-45 ans. Je profite donc des
aucune erreur n’est pardonnée et cela m’apporte années devant moi pour réaliser mes objectifs.
pour les distances plus longues. Je ne sais pas Au contraire, maintenant que j’ai obtenu mon
encore à quelle(s) épreuve(s) je serai présent. Les Doctorat de Biomécanique, je pourrai revenir
choix se feront en fonction de l’évolution de mon travailler dans ce domaine quand je le souhaiterai.
calendrier.! J’ai d’ailleurs conservé une activité dans quelques
projets scientifiques pour occuper mon temps
TrimaX-magazine : As-tu un modèle sportif libre actuel et garder un pied dans cet univers qui
ou une personnalité à qui tu te réfères ? me passionne. Une de mes idées serait par exemple
de développer le premier capteur de puissance en
Dans le monde sportif, Michael Jordan pour son natation utilisable par le grand public. Il existe
perfectionnisme et sa volonté d’être le meilleur dans le monde quelques projets sur ce thème
dans son domaine. C’est un point commun peu mais aucun ne s’apparente à la solution que j’ai en
connu du grand public que j’ai aussi retrouvé chez tête et commencé à mettre en place avec Georges
Michael Jackson dans le monde du divertissement. Soto-Romero. Il ne me manque que du temps pour
Dans le monde scientifique, Albert Einstein avancer là-dessus, mais cela viendra.
représente aussi pour moi ce côté absolu.
TrimaX-magazine : Que pouvons-nous te
TrimaX-magazine : Lorsque tu as commencé souhaiter de meilleur pour cette année ?
le triathlon, est-ce que tu t’imaginais en être
là aujourd’hui ? De continuer à progresser, de terminer un Ironman
heureux de ma performance et de continuer à être
Je ne l’imaginais pas et n’avais pas vraiment épanoui dans mon sport !
de projection, mais j’ai toujours eu cette envie
profonde de m’améliorer. J’ai fait en
sorte de l’appliquer au quotidien et je
vais continuer à le faire.
TrimaX-magazine : Qu’est-ce que
tu as fais hier à l’entraînement ?

Une belle journée ! 5h de vélo
avec une météo allant de la pluie
torrentielle à une chaleur écrasante.
Un enchaînement de 30’ de course-
à-pied avec de l’allure Ironman et 15’
de natation souple en détente. J’ai
maintenant passé 2 semaines sur les
17 qui me séparaient de l’Ironman
du Texas lors de mon début de
préparation. Je compte les semaines
avec impatience, tout en faisant en
sorte de bien les remplir.

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