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REPORTAGE
les plus belles, les plus difficiles au monde aussi. un handicap, que les sourds étaient eux aussi
J’ai eu la chance de la courir deux fois, en 2015 et capables d’exploits - m’a séduit, touché. Je n’ai
2014. donc pas hésité une seule seconde à accepter
d’être son parrain.
TrimaX-magazine : Comment s’est effectué le
parrainage ? TrimaX-magazine : Qu’avez-vous retiré
Lors de la conférence de presse de l’édition 2016, humainement de cette expérience?
où j’étais invité, j’ai rencontré Nicolas Jacob, qui L’une des choses que j’aime dans le sport, la course à
m’a demandé si j’acceptais d’être son parrain. Sa pied, le triathlon, c’est que cela me permet de sortir
motivation - montrer que la surdité n’était pas de mon milieu professionnel, et de rencontrer
d’autres hommes, d’autres femmes,
animés d’autres passions. J’ai ainsi
la chance d’être le parrain d’une
formidable association, «Pompier
Raid Aventure», qui court pour et
avec ceux qui ne le peuvent pas,
des enfants handicapés, au travers
de courses aux quatre coins de la
planète.
Courir pour soi est déjà une
formidable source d’équilibre et de
bonheur, mais quand vous le faites
pour d’autres, c’est encore meilleur !
TrimaX-magazine : Est-ce que c’est
une épreuve à laquelle vous pensez
participer à nouveau un jour ?
Pas impossible que je participe une
3ème fois au Marathon des Sables,
qui sait, peut-être dès 2017 !
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