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REPORTAGE









                                        Triath’long






              Mignon et Haug, les déferlantes

































                                                              Royan... Comme un aimant. Il a accueilli un plateau d’ex-
                                                              ception qui n’a rien pu faire contre le détonnant Clément
                                                              Mignon, dont la classe a éclaboussé la 10ème édition, le
                                                              12 septembre dernier. Vainqueur en 4h, le pensionnaire
                                                              du Triathl’Aix a devancé Kevin Rundstalder (4h05) et An-
                                                              toine Méchin (4H07). Chez les femmes, la championne du
         MIGNON ET HAUG,                                      monde allemande, Anne Haug, meilleur temps au général
                                                              en course à pied, a bouclé le parcours en 4h17 ! Un record.
         LES DÉFERLANTES                                      Stratosphérique ! La pépite Justine Mathieux et Julie Le Col-
                                                              leter ont complété le podium.

                                                              Ô Royan ! Le regretté Claude Nougaro aurait très bien pu
                                                              trouver là, la source d’une nouvelle inspiration…  Pour-
                                                              tant, en ce 12 septembre, l’heure n’était pas au canotage.
                                                              Le Triath’Long U Côte de Beauté, c’est viril, sportif, exi-
                                                              geant en diable. Un parcours roulant ? Demandez plutôt à
                TRIATH’LONG                                   Clément Mignon, vainqueur de cette édition anniversaire.
                                                              « Par rapport aux Sables-d’Olonne, ce n’était pas du tout le
                                                              même effort. Les portions de course avec sable, les montées
                                                              et descentes… c’était très compliqué à négocier » explique le
                                                              pensionnaire du Triathl’Aix.
                                                              Et de poursuivre que « C’est sans aucun doute le parcours
                                                              le plus dur que je n’ai jamais fait. Avec le vent, tout était plus
                                                              compliqué. C’était épuisant !». Au micro du speaker et or-

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