Page 57 - TRIMAX MAGAZINE 191
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c le Messin Mathis Margirier. Le futur vainqueur en
2h06 a gagné près de cinq minutes sur l’argent ramené
en 2018. Et le parcours modifié qui a vu l’ajout d’une côte
casse-pattes qui a rendu les coups au cyclistes – 840 m
de dénivelé au compteur -.
Un vibrant hommage à Julian David
« Les travaux nous ont contraints à des modifications.
Néanmoins, elles n’ont pas dénaturé le Sardines Titus
Triathlon qui avait une saveur toute particulière cette année.
Le Trophée Julian avait été mis en jeu en hommage à un
membre du club, Julian David, disparu le 30 juin dernier des
suites d’une leucémie, à l’âge de 32 ans», explique Vincent,
touché au cœur. « Ce trophée constituait le fil conducteur de
l’épreuve et si peu de participants ont pris part au challenge et
pris part à l’aquathlon et au M, il a le mérite d’exister et tout
le monde au club souhaitait qu’il en soit ainsi. Ses parents
avaient d’ailleurs fait le déplacement de Bretagne », poursuit
l’intéressé. Emotion palpable, forte, Julian inscrit sur
chaque dossard, Monsieur David, « le stakhanoviste des
compétitions », lance affectueusement Vincent, laissera
une empreinte indélébile. Présent partout, même sur la
ligne d’arrivée. Plus difficile, plus beau, plus ensoleillé,
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2h06 a gagné près de cinq minutes sur l’argent ramené
en 2018. Et le parcours modifié qui a vu l’ajout d’une côte
casse-pattes qui a rendu les coups au cyclistes – 840 m
de dénivelé au compteur -.
Un vibrant hommage à Julian David
« Les travaux nous ont contraints à des modifications.
Néanmoins, elles n’ont pas dénaturé le Sardines Titus
Triathlon qui avait une saveur toute particulière cette année.
Le Trophée Julian avait été mis en jeu en hommage à un
membre du club, Julian David, disparu le 30 juin dernier des
suites d’une leucémie, à l’âge de 32 ans», explique Vincent,
touché au cœur. « Ce trophée constituait le fil conducteur de
l’épreuve et si peu de participants ont pris part au challenge et
pris part à l’aquathlon et au M, il a le mérite d’exister et tout
le monde au club souhaitait qu’il en soit ainsi. Ses parents
avaient d’ailleurs fait le déplacement de Bretagne », poursuit
l’intéressé. Emotion palpable, forte, Julian inscrit sur
chaque dossard, Monsieur David, « le stakhanoviste des
compétitions », lance affectueusement Vincent, laissera
une empreinte indélébile. Présent partout, même sur la
ligne d’arrivée. Plus difficile, plus beau, plus ensoleillé,
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