Page 52 - TRIMAX MAGAZINE 188
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RECIT 2019 ne dira pas le contraire : « Les
conditions de course étaient vraiment
52 idéales. On nage dans une eau à 23
degrés et la course à pied se fait dans
des lieux connus de Marseille, c’est
juste parfait. C’est une autre manière
de pratiquer le swimrun et je ne peux
qu’encourager les organisateurs à se
lancer dans ce format de course ». En
effet, le swimrun urbain de Marseille
se veut accessible à tout type de
swimrunners : les spécialistes de la
natation, les spécialistes de course à
pied mais aussi ceux qui savent nager
et courir et qui ont juste envie de se
faire plaisir. Et ils étaient d’ailleurs
nombreux au départ de ce swimrun
endossant pour la première fois un
dossard de swimrunner comme Fred
venu tester en solo. « Je suis plutôt
triathlète mais j’avais envie de goûter
à autre chose dans un cadre magique.
Découvrir Marseille de cette manière,
c’est juste l’idéal. Je n’étais jamais venu
ici auparavant. Ce swimrun représentait
donc une grande première à plusieurs
égards… le bilan ? je re-signe tout de
suite pour 2020 ! »

Mathilde Parisi, gagnante solo
chez les femmes partageait cet
avis également… « Nager dans la
Méditerranée dans une eau aussi claire,
c’était juste magique ».

Ce sont donc des sourires
qui irradiaient les visages des
swimrunners au gré des arrivées.
A peine le temps de souffler et nous
voilà repartis sur les aquathlons
enfants avec des noms de catégories
qui fleurent bon le Sud : les rascasses,
les sardines, etc. 150 gamins venus
s’affronter sur un aquathlon aux
distances adaptées en fonction des
âges.

Sourires, rictus d’effort, félicitations…
voilà une belle manière de terminer
la journée. Le rendez-vous est pris le
lendemain matin dès 5 heures pour
un départ du triathlon L. La nuit a été
courte et le Mistral a fait s’envoler les
400m de moquette entre la sortie de
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