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COUP DE PROJO

Reste le côté performance ...

Pour être honnête je n’ai pas la prétention de
pouvoir juger de l’aéro du P5X, je laisse cela
aux ingénieurs de chez Cervélo et aux tests en
soufflerie ! Mais ce qui est sûr c’est qu’il m’a permis
de trouver une position dans laquelle je me sentais
puissant (comprendre par la que la position me
permettait de transmettre de la force à la pédale)
et du coup rapide avec toute la subjectivité que
cela implique.

Si je ne devais retenir qu’une chose c’est que je
me suis sentis aussi bien positionné sur le P5X en
deux sorties qu’après tout un été à rouler sur mon
propre vélo. C’est pour moi l’atout numéro un de
ce cadre : mettre la performance à disposition de
tous.

        Mais est-ce qu’il grimpe
            au moins ce vélo ?

Alors comme pour beaucoup c’était un peu le              roues (Thru Axle) qui apporte un surplus de
point sur lequel j’attendais de voir.                    rigidité à l’ensemble et beaucoup de propreté au
On a pu tester le P5X sur des pentes de 2-3 km           pilotage.
présentant des passages à 10%. La première
constatation est que l’absence de tube de selle ne
se fait pas sentir : les sensations sont identiques
même si on sent le centre de gravité
légèrement plus porté sur l’avant du vélo.
Le P5X ne semble donc pas plus pataud
qu’un autre vélo de triathlon une fois en
danseuse. Cela dit, il semble plus à l’aise
en restant calé sur selle et gardant une
fréquence de pédalage élevée.

Comme mentionné plus haut, nous
n’avons pas eu l’occasion de le tester
lors d’une longue ascension, mais on est
alors quand même aux limites de son
programme d’utilisation.

     Pour ce qui est de descendre, le vélo sait
     mettre son pilote en confiance. J’attribue
     cette sensation aux axes de serrage des

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