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COUP DE PROJO

sur le podium de la finale de la Division 3, explique l’un
des membres du comité directeur, Vincent Paoli. Ces
dernières s’appuieront notamment sur la belle demi-
finale réalisée le 2 juillet dernier ». Un objectif qui vient
en bousculer d’autres. Dynamisme quand tu nous tiens.
« Le projet jeunes est bien lancé, poursuit l’intéressé.
A l’échelon national, Triathlon, duathlon et aquathlon
concerne notamment les minimes, cadets et juniors.
Chez les adultes, la D3 reste un véritable moteur ».

La vitrine Sylvain Sudrie… et les jeunes

Récent dauphin d’Anthony Pujades sur le triathlon
de Marseille et quintuple champion de France,
Sylvain Sudrie n’est pas étranger à la belle santé de
l’entité phocéenne qui suscite un intérêt grandissant
et brasse large.

En témoigne, la venue de l’ancienne championne                 en 2012. L’effectif a doublé depuis et les supporters
du monde de boxe, Myriam Lamare qui ne manque                  répondent présents. Ils étaient 300 dans la capitale de la
pas de louer la compétence comme l’esprit d’équipe             Riviera », se félicite Vincent Paoli. Plus qu’un club,
qui agissent comme un aimant sur le collectif : «              « Les Sardines » restent et resteront une famille,
Je trouve beaucoup de valeurs humaines au club. Celles         une bande de potes avides de partage et dopés à
que l’on cherche tous. Il y a une aisance telle que la         l’aventure humaine au sens le plus vrai, le plus
motivation vient d’elle-même. Le dynamisme fait naitre         noble.
cette envie de bouger puis de se dépasser », explique
Myriam.

« La culture de la formation est bien présente dans la
structure», prévient le président, Hervé Pellissier. «
Les parents suivent alors les traces de leurs enfants, tout
simplement ». Un contrat de confiance s’instaure
alors. L’âme fédératrice chevillée au corps, « Les
Sardines », c’est le bénévolat,
l’entraide, le soutien dans l’effort
par-delà les échéances. « Le Pôle
bénévolat est essentiel, lance le
dirigeant. Dès leur inscription, tout est
clair. Les licenciés savent qu’ils devront
donner un coup de main sur les rendez-
vous sportifs. Nous ne sommes pas à la
recherche de mangeurs de créneaux ».
A leur manière, les étapes de Nice
et Embrun ont aussi façonné leur
histoire commune et donné un
tout autre relief au projet longue
distance mis en lumière tous les
deux ans. « Nous étions une dizaine
à Embrun puis une trentaine sur Nice

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