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COUP DE PROJO
Quand la magie opère…
Sardines Titus Triathlon, le 9 octobre, à Cassis : Le décor féérique Le coureur n’a certainement
l’étape cassidaine se veut très exigeante et sélective ferait la part belle aux à l’esprit le décor de carte
de France. Un décor de carte postale tel que vous le photographes avertis postale qui se déroule sous ses
propose le club marseillais se mérite ! comme occasionnels venus yeux vissés au loin. Comme
rendre hommage à l’écrivain pour mieux attirer à lui la
Romuald Vinace provençal, Frédéric Mistral, ligne d’arrivée. Le Triathlon
et reprenant alors pour eux- de Cassis, très exigeant, ne
Yann-Foto et Sébastien D. mêmes son fameux « Qui permet pas l’à-peu-près. Il se
a vu Paris et pas Cassis, n’a mérite et se gagne bien avant
12 rien vu ». Vue imprenable le départ. Une seule exigence
sur la calanque de Port- sur ce parcours vallonné :
Miou et ses fonds cristallins, le respect. Respect d’une
incitations au farniente, à la préparation minutieuse sous
traditionnelle pétanque et peine de subir de plein fouet
plus loin… la course. Dans la loi de l’écrémage dès les
l’écrin de Cassis, les visages premiers hectomètres. Et
se tendent, les jambes pour cause ! Entre 700 et 800
se font d’acier, le souffle mètres de dénivelé seront au
vient à manquer, les forces programme des forçats du
s’amenuisent peu à peu. bitume, sans oublier les deux
boucles au large de la plage
