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d’œil aux cahiers, les devoirs sont à peu près faits
à l’étude.
19h30/20h nous sommes en famille à table,
ce moment est si important ! Je l’idéalise toujours.
Les enfants récitent leurs poésies, on parle tous
en même temps, ma fille déteste ça, parfois ça
fini en pleurs…fromage et dessert, il est 20h10/30.
Brossage des dents. 10 minutes de câlin avec ma
fille, et ses petits secrets, 10 minutes avec mon fils.
Petit ménage et à 21h il ne reste plus rien.
Ca ne fait pas rêver…FB, lecture en cours « Sœur
Emmanuelle », préparation des affaires de course
et/ou natation de mardi.
Mardi réveil 6h30, départ et 7h40
dans l’eau, les enfants ne voulaient pas me laisser
partir, le matin, c’est câlin maman.
Heureusement Alain est cool, pas grave si on est
en retard, on s’apprécie beaucoup. Il sait qu’on le
respecte.
9h10
je suis en retard au bureau. Je déteste ça. Pas de
place de se garer. Tout le monde est déjà là. « Tu
as l’air fatiguée » J’ai la trace des lunettes jusque
11h. Au bureau, on ne comprend pas trop pourquoi
aller nager le matin, courir le midi, rouler et faire
des courses le week-end. Que je fasse un triathlon
M, ou L, pour la majorité, l’effort physique
paraît démesuré et l’apanage de pratiquants
sadomasochistes. Je ne parle que très peu sport au
bureau pourtant j’adore ça ! Dommage. « On est là
pour travailler. » « Faire du chiffre » certes oui, c’est
dans mon contrat de travail.
12h15
Je cours à ma voiture pour la séance stade avec
Xavier. Je ne m’échauffe jamais le mardi, je
prends la séance en cours à cause de mes horaires,
souvent une pyramide. Je reconnais les amis,
soit torse-nu, (ils aiment ça les triathlètes) soit
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