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LA CHRONIQUE DE NICOLAS GEAY

Bon, entre la Superleague et la WTS, j’avoue que ces
derniers temps, j’ai été un peu chafouin et plutôt critique…
Alors, en cette fin d’année et ces temps de fête, je ne vais
voir que le positif d’une belle année et ignorer les flops
dont j’ai suffisamment parlés ici… Alors, en avant pour
les choses, les images, les performances qui m’ont fait
vibrer…

D’abord, j’ai aimé le Boss ! Vincent Luis, premier champion
du monde français de triathlon depuis Olivier Marceau l’an
2019, C’ÉTAIT PAS 2000. Vincent monstre de régularité, qui démontre qu’il
est devenu à 30 ans le meilleur triathlète de la planète.

MAL, NON ? Sans lacunes, sans faiblesses…Très fort dans l’eau, solide
à vélo et impressionnant à pied, Vincent a su faire son
autocritique, voir ce qui n’avait pas marché avant et après
les Jeux. Les Jeux justement, il en sera l’un des grands
LA CHRONIQUE DE favoris. Mais cela n’est pour autant pas un blanc-seing.
Sa cinquième place lors de la grande finale de Lausanne
doit lui rappeler que son titre mondial n’est une garantie
NICOLAS GEAY de réussite olympique mais il assure qu’il est sur la bonne
voie et surtout qu’il faut croire en lui. Plus que jamais.
J’ai aimé aussi la démarche de Cyril Viennot. Le fait qu’il
accepte la proposition de Nicolas Becker de devenir le
guide de Thibaut Rigaudeau en toute humilité, en ne
PAR NICOLAS GEAY prenant personne de haut, juste vouloir partager, faire
partager son immense expérience et en faire bénéficier
l’équipe de France de paratriathlon. En échange, l’ancien
champion du monde Longue Distance restera sur les listes

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