Page 16 - TRIMAX MAGAZINE 191
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LA CHRONIQUE DE NICOLAS GEAY
SUPER LEAGUE, C’était un dimanche après-midi d’octobre… Je naviguais
Y A DÉBAT ! sur twitter et tombe sur ce twitt de Pascal Grégoire
Boutreau, mon ami journaliste et comme moi passionné
LA CHRONIQUE de triathlon : « Quelqu’un aurait de l’aspirine ? J’essaie de
DE NICOLAS comprendre le règlement de la Super League. » J’ai compris
GEAY que je n’étais pas tout seul. Déjà la veille, lors des
demi- finales, je m’étais fait la même réflexion. Et puis,
PAR NICOLAS GEAY d’autres personnes sont rentrées dans le débat pour
apporter leurs arguments. Et comme le dit l’un de mes
collègues au service des sports de France Télévisions, « il
y a débat, il y a sujet »… Autrement dit, si on discute, on
s’écharpe, et qu’on n’est pas d’accord, alors ça vaut un
reportage. Alors là, il y a débat, il y a donc chronique !
C’est vrai qu’en regardant cette manche de Malte, en
voyant Cassandre dominer les demi-finales ou Vincent
le lendemain à nouveau souverain, j’avais un sentiment
mitigé. Sans savoir si je regardais une exhibition ou une
vraie compétition de très haut-niveau. Je ne retrouve pas
d’authenticité dans L’image donnée par cette épreuve.
En regardant avec un peu de recul et d’esprit critique,
ce qui est à peu près notre métier de journaliste, on voit
quoi ? Une brochure, des beaux clips promotionnels pour
des endroits de rêve. Pas forcément l’image d’un triathlon
populaire qui se démocratise…
Et que dire en effet de ces règles ? De ces changements
d’ordre des disciplines, de ce fameux « truc » qui permet
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SUPER LEAGUE, C’était un dimanche après-midi d’octobre… Je naviguais
Y A DÉBAT ! sur twitter et tombe sur ce twitt de Pascal Grégoire
Boutreau, mon ami journaliste et comme moi passionné
LA CHRONIQUE de triathlon : « Quelqu’un aurait de l’aspirine ? J’essaie de
DE NICOLAS comprendre le règlement de la Super League. » J’ai compris
GEAY que je n’étais pas tout seul. Déjà la veille, lors des
demi- finales, je m’étais fait la même réflexion. Et puis,
PAR NICOLAS GEAY d’autres personnes sont rentrées dans le débat pour
apporter leurs arguments. Et comme le dit l’un de mes
collègues au service des sports de France Télévisions, « il
y a débat, il y a sujet »… Autrement dit, si on discute, on
s’écharpe, et qu’on n’est pas d’accord, alors ça vaut un
reportage. Alors là, il y a débat, il y a donc chronique !
C’est vrai qu’en regardant cette manche de Malte, en
voyant Cassandre dominer les demi-finales ou Vincent
le lendemain à nouveau souverain, j’avais un sentiment
mitigé. Sans savoir si je regardais une exhibition ou une
vraie compétition de très haut-niveau. Je ne retrouve pas
d’authenticité dans L’image donnée par cette épreuve.
En regardant avec un peu de recul et d’esprit critique,
ce qui est à peu près notre métier de journaliste, on voit
quoi ? Une brochure, des beaux clips promotionnels pour
des endroits de rêve. Pas forcément l’image d’un triathlon
populaire qui se démocratise…
Et que dire en effet de ces règles ? De ces changements
d’ordre des disciplines, de ce fameux « truc » qui permet
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