Page 66 - TRIMAX MAGAZINE 190
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RENCONTRE
Pouvez-vous aller plus loin ? n’est pas assez présente au chevet Mais encore ?
Je n’ai pas peur de la dire, même si de ces organisateurs lors de l’accueil On se plaint de tarifs exorbitants sur
certains semblent se satisfaire de des épreuves internationales mais certaines courses et pourtant, en
cette situation, une sérieuse réflexion également à l’occasion de l’accueil dépit de mon attachement à cette
doit être menée notamment sur des non-licenciés. discipline, à l’équipe de France et à la
le renouvellement de la vitrine du fédération, je ne peux que constater
triathlon que sont les Grands Prix.
Je ne suis pas là pour dire qu’il faut absolument quitter
Vous semblez remonté... la Fédération. Je dis simplement qu’il y a une nécessité de
A ce jour, la Fédération ne nous réfléchir, de se mettre autour d’une table
soutient pas assez, c’est une évidence
que des organisateurs partagent. Ils qu’il n’y a pas de remise en cause du
se retrouvent dans mes propos. Elle haut niveau mais aussi de la base. On
tape sur les organisateurs, on tape
sur les non-licenciés et ce constat
enduit une volonté de travailler en
totale autonomie, en dehors de la
structure fédérale si le contexte le
permet. Le ras-le-bol est réel !
Vous n’avez pas de crainte pour
votre épreuve, quels sont les retours
que l’on vous fait sur le plus rendez-
vous de France organisé par des
étudiants ?
Je suis très à l’aise pour en parler car
j’ai un Directeur Général, Christophe
Germain, à ses heures triathlète,
passionné de sport et qui me soutient
à 400 % dans mes décisions. Nous
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Pouvez-vous aller plus loin ? n’est pas assez présente au chevet Mais encore ?
Je n’ai pas peur de la dire, même si de ces organisateurs lors de l’accueil On se plaint de tarifs exorbitants sur
certains semblent se satisfaire de des épreuves internationales mais certaines courses et pourtant, en
cette situation, une sérieuse réflexion également à l’occasion de l’accueil dépit de mon attachement à cette
doit être menée notamment sur des non-licenciés. discipline, à l’équipe de France et à la
le renouvellement de la vitrine du fédération, je ne peux que constater
triathlon que sont les Grands Prix.
Je ne suis pas là pour dire qu’il faut absolument quitter
Vous semblez remonté... la Fédération. Je dis simplement qu’il y a une nécessité de
A ce jour, la Fédération ne nous réfléchir, de se mettre autour d’une table
soutient pas assez, c’est une évidence
que des organisateurs partagent. Ils qu’il n’y a pas de remise en cause du
se retrouvent dans mes propos. Elle haut niveau mais aussi de la base. On
tape sur les organisateurs, on tape
sur les non-licenciés et ce constat
enduit une volonté de travailler en
totale autonomie, en dehors de la
structure fédérale si le contexte le
permet. Le ras-le-bol est réel !
Vous n’avez pas de crainte pour
votre épreuve, quels sont les retours
que l’on vous fait sur le plus rendez-
vous de France organisé par des
étudiants ?
Je suis très à l’aise pour en parler car
j’ai un Directeur Général, Christophe
Germain, à ses heures triathlète,
passionné de sport et qui me soutient
à 400 % dans mes décisions. Nous
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