Page 38 - TRIMAX MAGAZINE 184
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SPECTIVES
Vincent LUIS peut-il être
champion du monde en
2019 ?
Difficile d’y répondre mais il est
possible de jeter un œil averti au
rendement des années précédentes.
Ci-dessous, voici les places obtenues
par MOLA pour conquérir les trois
derniers titres mondiaux :
2018 PLACE PLACE PLACE PLACE PLACE GRANDE
2017 1 2 3 4 5 FINALE
1 1 1 1 2 Sa 5ème place n’est pas rédhibitoire. Nous sommes au
2 début d’une course de fond mais si MOLA garde le même
1 1 1 1 7 3 rythme, cela va s’avérer difficile de le détrôner.
2016 1 1 1 1 2 5
L’Equipe de France, 4ème du relais mixte
Sans Vincent LUIS et Cassandre BEAUGRAND laissés
au repos pour faire tourner l’effectif et tester plusieurs
possibilités, l’équipe de France a, malgré tout, fière allure.
Sandra DODET, Dorian CONINX, Léonie PERIAULT et Léo
BERGERE ont la lourde tâche de conforter le rang de la
France dans la course aux quotas olympiques.
4ème sur la ligne d’arrivée à 23’’ d’Australiens victorieux et
à 18’’ des Américains 2ème, la France aurait pu réaliser un
véritable coup de force mais Léo BERGERE a dû respecter
deux pénalités de 10’’ qui les a condamnées. Ces petites
erreurs coûtent chères et rappelle la nécessité de faire un
sans-faute pour gagner. Dernier relayeur, Léo a été d’une
grande efficacité et offre lui aussi de bons arguments pour
être du relais mixte olympique.
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Vincent LUIS peut-il être
champion du monde en
2019 ?
Difficile d’y répondre mais il est
possible de jeter un œil averti au
rendement des années précédentes.
Ci-dessous, voici les places obtenues
par MOLA pour conquérir les trois
derniers titres mondiaux :
2018 PLACE PLACE PLACE PLACE PLACE GRANDE
2017 1 2 3 4 5 FINALE
1 1 1 1 2 Sa 5ème place n’est pas rédhibitoire. Nous sommes au
2 début d’une course de fond mais si MOLA garde le même
1 1 1 1 7 3 rythme, cela va s’avérer difficile de le détrôner.
2016 1 1 1 1 2 5
L’Equipe de France, 4ème du relais mixte
Sans Vincent LUIS et Cassandre BEAUGRAND laissés
au repos pour faire tourner l’effectif et tester plusieurs
possibilités, l’équipe de France a, malgré tout, fière allure.
Sandra DODET, Dorian CONINX, Léonie PERIAULT et Léo
BERGERE ont la lourde tâche de conforter le rang de la
France dans la course aux quotas olympiques.
4ème sur la ligne d’arrivée à 23’’ d’Australiens victorieux et
à 18’’ des Américains 2ème, la France aurait pu réaliser un
véritable coup de force mais Léo BERGERE a dû respecter
deux pénalités de 10’’ qui les a condamnées. Ces petites
erreurs coûtent chères et rappelle la nécessité de faire un
sans-faute pour gagner. Dernier relayeur, Léo a été d’une
grande efficacité et offre lui aussi de bons arguments pour
être du relais mixte olympique.
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