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RECIT

800 m de dénivelé et une
démonstration de force
qui n’aura pas laissé la
concurrence insensible :
« J’ai pris le départ de la
course pour tenter un coup,
finir sur une bonne note,
assure Frédéric Belaubre
qui aura gardé Hervé
Faure en visuel pour
finalement le déborder
à la course et arracher
la médaille de bronze.
Il me tenait à cœur de
passer un bon moment ici.
Cassis, c’est sans pression.
L’objectif restant le half et
l’Ironman ».

Le Triathlon de Cassis
garde un charme
intact, intemporel et
les deux transitions
vélo et couse avec
une sévère montée
donnent le ton. Sur
le bord de la route,
le public se prend
au jeu, encourage
ce compétiteur sorti
de l’eau à quelques
secondes de la
disqualification. En
famille, entre amis,
les spectateurs ont
au cœur la culture de

l’effort. « C’est un parcours pour les hommes forts », « Les 43 km de vélo sont particulièrement difficiles.
prévient d’emblée Arthur Horseau, dauphin de C’est un vrai casse-patte, révèle Arthur Horseau, qui
Sylvain Sudrie en un peu plus de 2h17. Pas vraiment aura réussi à contenir un Belaubre survolté dans le
le temps de relever la tête pour profiter de la magie final. Je ne connais rien de commun et cette course
du paysage. pourrait s’apparenter à un trail. C’est une véritable
épreuve. Très compliquée musculairement ».
Le Triathlon de Cassis est bien très exigeant. Le
constat est unanime. Sans concession. De son côté, la double championne de France
longue distance Charlotte Morel n’aura connue

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