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de Provence rimaX-magazine : Le
s dans le triathlon Ventoux représente l’un
Tde ces grands mythes du
cyclisme... C’est la première fois
qu’une épreuve de triathlon la
propose au triathlètes... Comment
est né le VentouxMan ?
Tout a commencé courant 2014,
lorsque nous planifions notre
saison de courses. Passionnés
par le Ventoux, on a été étonné
qu’il n’y en ait pas d’épreuves
qui s’y déroulent tellement le
lieu est mythique, et mérite son
triathlon !
En fait, il y avait déjà eu un
triathlon qui passait par le
Ventoux, organisé par le club
du Mistral Club d’Orange, le
format était plus long car il
faisait une boucle retour jusqu’à
Orange (3/130/30).
La course a bien marché la
1ère année puis s’est essoufflée,
le club n’ayant pas souhaité
insisté pour ne pas plomber les
finances.
Qu’à cela ne tienne, entre le
fromage et le dessert on lance
ce fameux défi de créer le
VentouxMan...
TrimaX-magazine : Vous avez
affiché sold out la première année
et pour cette deuxième édition, les
1000 dossards se sont arrachés
en quelques semaines, comment
expliquez vous ce succès ?
Ça tient au Mont Ventoux, qui
est connu dans le monde entier.
C’est un sommet mythique mis
en avant grâce au Tour de France, et que tous les TrimaX-magazine : Quel bilan avez-vous tiré de la
athlètes ont envie d’affronter. première édition ?
Faire un triathlon avec l’ascension du Ventoux, Comment dire... épuisante !! Il faut garder à
dans l’esprit des athlètes c’est comme l’Alpe l’esprit que c’est n’est pas notre métier, et qu’on
d’Huez ou l’EmbrunMan avec le col d’Izoard au préparait ça tous les soirs et weekend pendant
milieu. En termes de défi, de dépassement de presque 9 mois non-stop !
soi, de satisfaction, ce sommet est exceptionnel. Donc la première édition a été un baptême du
feu et nous a servi de test dans l’organisation.
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